En 1950 la France comptait 15 000 patronages qui accueillaient des millions d’enfants. Ensemble, ils jouaient et ils priaient. Ils apprenaient aussi à servir et à prendre des responsabilités. Les enfants d’aujourd’hui ont autant besoin de ces lieux.

C’est ainsi que de nouvelles oeuvres se créent, un peu « à la demande », pour les recevoir et leur proposer des activités éducatives, et la découverte de leur vie spirituelle. Les fondateurs de ces nouveaux patronages ont besoin d’aide et de soutien pour durer, sur tous les plans. Réunir les grandes oeuvres éducatives chrétiennes et soutenir ces initiatives d’aujourd’hui est apparu comme une évidence.

Accompagnement

Par l’aide qu’ils apportent dans la réalisation des devoirs, par les valeurs qu’ils transmettent, l’importance accordée à chaque enfant et par l’encadrement constitué en grande partie de bénévoles, les patronages accompagnent les jeunes dans un climat de bienveillance, et les invitent à progresser dans leur vie personnelle et dans leur relation aux autres.
Peu à peu les enfants et les jeunes y découvrent leurs talents et les mettent en oeuvre.

Amitié et partage

«Au sein de nos institutions, nous avons besoin d’offrir aux jeunes leurs propres lieux, qu’ils puissent aménager à leur goût, et où ils puissent entrer et sortir librement, des lieux qui les accueillent et où ils puissent se rendre spontanément et avec confiance à la rencontre d’autres jeunes, tant dans les moments de souffrance ou de lassitude, que dans les moments où ils désirent célébrer leurs joies. Quelque chose comme cela a été réalisé par certains patronages et d’autres centres de jeunesse, qui, dans de nombreux cas, constituent des lieux où les jeunes font des expériences d’amitié et de sentiments amoureux, où ils se retrouvent et peuvent partager la musique, les loisirs, le sport, et aussi la réflexion et la prière » Pape François, Christus vivit, n°217